Pourquoi mon siège de toilette est-il rose ?

Pourquoi les sièges de toilette sont-ils roses ?

Pendant des décennies, les sièges de toilette roses ont été un élément courant dans les salles de bain. Mais pourquoi cette couleur particulière est-elle devenue si omniprésente ?

Expérimentations chromatiques

Dans les années 1950, les fabricants de sanitaires ont commencé à expérimenter différentes couleurs pour les sièges de toilette. Ils recherchaient une teinte qui serait attrayante, durable et complèterait une large gamme de décors de salle de bain.

Perception de la couleur chair

Parmi les nombreuses couleurs testées, le rose s’est imposé comme le choix le plus préférable. Les consommateurs ont jugé que cette couleur était la plus proche de la couleur chair, une association qui a également été appliquée au papier toilette.

Transfert d’association

La perception du rose comme une couleur similaire à la couleur chair a créé une association visuelle entre les sièges de toilette et le corps humain. Cette association a conduit à une acceptation plus large du rose pour les sièges de toilette, car il était considéré comme plus hygiénique et moins choquant que d’autres couleurs.

Durabilité

Le rose s’est également avéré être une couleur durable pour les sièges de toilette. Il est moins susceptible de se tacher ou de jaunir avec le temps, ce qui en fait un choix pratique pour les salles de bain achalandées.

Popularité durable

La combinaison d’une attractivité visuelle, d’une durabilité et d’une association avec l’hygiène a fait du rose un choix populaire pour les sièges de toilette pendant des décennies. Bien que d’autres couleurs soient devenues disponibles, le rose reste une option courante, servant de témoignage de son héritage chromatique.

Conclusion

Le rose des sièges de toilette n’est pas un choix arbitraire mais le résultat d’expérimentations chromatiques et de perceptions psychologiques. Son association avec la couleur chair et sa durabilité en ont fait un choix logique et populaire qui perdure encore aujourd’hui.