Quand prendre des gels sur un semi ?

1 voir

Optimisez votre semi-marathon : consommez un gel Energix au 10ème kilomètre, suivi d’un Coup de Fouet au 15ème pour maintenir votre énergie. Envisagez un gel Red Tonic vers le 18ème kilomètre si nécessaire. Évitez les coups de pompe!

Commentez 0 J'aime

Optimiser son semi-marathon : une stratégie énergétique personnalisée avec les gels

Le semi-marathon, épreuve exigeante demandant une gestion fine de ses ressources, nécessite une stratégie énergétique précise. L’utilisation de gels énergétiques peut faire la différence entre une course fluide et une fin de course laborieuse, à condition de les consommer judicieusement. Contrairement à une approche générique, l’ingestion de gels doit être personnalisée en fonction de votre propre rythme, de votre expérience et de vos sensations. Cet article vous propose une approche pragmatique, exemplifiée par l’utilisation de trois gels spécifiques – Energix, Coup de Fouet et Red Tonic – mais adaptable à vos propres choix en fonction de votre tolérance et de vos préférences.

L’approche préconisée : une stratégie en trois temps

L’approche ci-dessous suggère une stratégie en trois temps, axée sur la prévention des “coups de pompe” et le maintien d’une performance optimale durant les 21,097 kilomètres de la course. Elle n’est qu’un exemple, et il est crucial de l’adapter à votre propre expérience et à vos ressentis.

  • 10ème kilomètre : le maintien du rythme avec Energix: À ce stade, la fatigue commence à se faire sentir. La prise d’un gel Energix (ou tout autre gel à action rapide et à index glycémique élevé) permet de recharger les réserves de glycogène musculaire et de maintenir une allure constante. L’important est d’avoir déjà testé ce gel à l’entraînement pour connaître sa tolérance digestive. Accompagnez-le d’une petite quantité d’eau pour faciliter l’absorption.

  • 15ème kilomètre : le coup de fouet avec… Coup de Fouet !: La seconde moitié du semi-marathon est souvent plus difficile. Un second gel, comme le Coup de Fouet (ou un gel équivalent stimulant), peut apporter un regain d’énergie et de motivation. Son action plus ciblée sur l’aspect stimulant peut pallier la baisse de régime physiologique naturelle. L’hydratation reste primordiale.

  • 18ème kilomètre (si nécessaire) : le Red Tonic, une solution de secours: Si malgré les deux gels précédents, vous ressentez une fatigue importante ou des signes d’hypoglycémie (tremblements, vertiges, faiblesse), un troisième gel comme le Red Tonic (ou un gel à libération plus lente) peut être envisagé. Cependant, n’utilisez ce troisième gel qu’en cas de réel besoin, afin d’éviter toute surcharge digestive.

Au-delà des gels : l’importance de l’entraînement et de l’hydratation

L’utilisation de gels ne doit pas masquer une préparation insuffisante. Un entraînement adapté, incluant des séances spécifiques de course longue et de fractionné, est essentiel. De même, une hydratation régulière tout au long de la course, avant, pendant et après, est primordiale pour une performance optimale. N’hésitez pas à expérimenter différentes stratégies d’hydratation et de consommation de gels lors de vos entraînements afin de trouver celle qui vous convient le mieux.

En conclusion : une approche personnalisée pour une performance optimale

Cette stratégie de consommation de gels n’est qu’un point de départ. L’adaptation et l’expérimentation sont cruciales pour trouver la formule idéale en fonction de votre corps et de vos besoins spécifiques. N’oubliez pas de tester vos gels lors de vos entraînements pour identifier les possibles effets secondaires et affiner votre plan énergétique pour le jour J. Bonne course !