Comment savoir notre ossature ?

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Pour estimer votre ossature, entourez votre poignet avec votre pouce et index. Si les doigts se chevauchent, vous avez probablement une ossature fine. Sils se touchent sans se chevaucher, elle est moyenne. Sils ne se touchent pas du tout, votre ossature est vraisemblablement large. Cest une méthode simple pour avoir une idée générale.

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Décrypter son ossature : bien plus qu’une simple question de taille

L’ossature, cette structure interne qui soutient notre corps, influence notre morphologie et notre apparence générale. Mais comment déterminer son type d’ossature ? Contrairement à une idée reçue, il n’existe pas de méthode scientifique infaillible et précise pour la mesurer directement. Cependant, quelques indices permettent d’obtenir une estimation raisonnable, à commencer par une méthode simple et accessible à tous : le test du poignet.

Le test du poignet : un indicateur approximatif

Cette méthode consiste à entourer votre poignet avec le pouce et l’index de votre main opposée. L’espacement entre vos doigts vous donne une indication sur votre type d’ossature :

  • Doigts qui se chevauchent : Ceci suggère une ossature fine. Les personnes avec une ossature fine ont généralement des poignets et des chevilles fins, des membres délicats et un poids corporel souvent plus léger pour une taille donnée.

  • Doigts qui se touchent sans se chevaucher : Dans ce cas, votre ossature est probablement de type moyen. Il s’agit d’un type d’ossature intermédiaire, ni trop fine, ni trop large.

  • Doigts qui ne se touchent pas : Cela indique une ossature large. Les individus possédant une ossature large ont des os plus épais, des poignets et des chevilles plus larges, et un physique généralement plus imposant.

Important : Une estimation, pas une vérité absolue

Il est crucial de comprendre que cette méthode du poignet ne fournit qu’une estimation grossière. Elle ne prend pas en compte d’autres facteurs qui influencent la morphologie, tels que la masse musculaire, la distribution de la graisse corporelle et la génétique. Par exemple, une personne musclée pourrait avoir une ossature moyenne mais un poignet qui pourrait faire penser à une ossature large.

Au-delà du poignet : d’autres indices (non concluants)

D’autres indices, souvent cités, contribuent à une appréciation globale, mais restent subjectifs et non scientifiques :

  • La largeur des épaules et des hanches : Des épaules et des hanches larges suggèrent une ossature large, tandis que des épaules et des hanches étroites indiquent une ossature fine.

  • La taille du cou et des chevilles : Un cou et des chevilles fins correspondent souvent à une ossature fine, tandis que des cou et chevilles plus imposants suggèrent une ossature large.

Conclusion : l’importance d’une approche holistique

Déterminer son type d’ossature n’est pas une science exacte. Le test du poignet est un point de départ, un outil simple pour avoir une idée générale. Cependant, il ne doit pas être considéré comme une mesure définitive. Une approche plus complète et responsable implique de prendre en considération plusieurs facteurs physiques et de consulter un professionnel de santé pour toute question concernant sa morphologie et sa santé. L’important est de se concentrer sur une alimentation équilibrée et une activité physique régulière, quel que soit son type d’ossature.