Quel poisson est pauvre en iode ?

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Le saumon est le poisson le plus riche en iode avec 245 µg/g, suivi de la morue (143 µg/g). La langoustine (130 µg/g) est le crustacé le plus riche en iode, tandis que lhuître (57 µg/g) se démarque parmi les mollusques et coquillages.
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Peu d’iode, beaucoup de choix : Quels poissons privilégier pour une alimentation contrôlée ?

L’iode est un oligo-élément essentiel à notre santé, jouant un rôle crucial dans la production d’hormones thyroïdiennes. Cependant, une consommation excessive d’iode peut être tout aussi problématique qu’une carence. Pour les personnes devant surveiller leur apport en iode, le choix du poisson, souvent recommandé pour ses bienfaits nutritionnels, nécessite une attention particulière. Alors que le saumon (245 µg/g), la morue (143 µg/g) et même la langoustine (130 µg/g) figurent parmi les aliments les plus riches en iode, d’autres espèces offrent une alternative plus adaptée.

Malheureusement, des données précises et comparatives sur la teneur en iode de tous les poissons disponibles sur le marché sont rares. La concentration en iode peut varier considérablement en fonction de facteurs tels que l’environnement (la composition de l’eau où le poisson a évolué), l’alimentation du poisson et les méthodes de conservation. Néanmoins, on peut affirmer que certains poissons présentent généralement une teneur en iode plus faible que les espèces citées précédemment.

Pour réduire votre apport en iode via la consommation de poisson, il est conseillé de privilégier :

  • Les poissons d’eau douce: Généralement, les poissons d’eau douce contiennent moins d’iode que les poissons d’eau de mer. Cependant, il est important de noter que cette affirmation reste générale et que la teneur en iode peut varier selon l’environnement. Des analyses spécifiques pour chaque espèce et lieu de pêche seraient nécessaires pour une information précise. Exemples : la truite, le brochet, la perche.

  • Les poissons de petite taille: La concentration d’iode peut être liée à la taille du poisson. Des études plus approfondies seraient nécessaires pour confirmer cette hypothèse, mais il est plausible que de plus petits poissons accumulent moins d’iode au cours de leur vie.

  • Vérifier les étiquettes nutritionnelles: Bien que peu fréquente, la mention de la teneur en iode sur les emballages de poisson frais ou surgelé peut exister. Il est donc impératif de consulter ces indications lorsque disponibles.

Important: Cet article vise à fournir des informations générales. Il ne saurait se substituer à un avis médical. Pour toute question relative à votre alimentation et à votre apport en iode, consultez un professionnel de santé ou un diététicien. Ils pourront vous conseiller sur les choix alimentaires les plus appropriés en fonction de vos besoins spécifiques et de votre état de santé. L’auto-médication peut être dangereuse.